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mercredi 29 décembre 2010

Marc Séguin

Marc Séguin





Biographie : Marc Séguin est né à Ottawa le 20 mars 1970. Il a obtenu un baccalauréat en beaux-arts de l'Université Concordia et vit et travaille actuellement entre Montréal et New York. Dès 1996, sa première exposition individuelle présente des tableaux de grandes dimensions aux propositions plastiques étonnantes. Cette exposition attire favorablement l'attention des critiques et des collectionneurs: sa carrière est lancée ! Graveur doué autant que peintre prolifique, Marc Séguin voit son travail reconnu par les conservateurs du Musée d'art contemporain de Montréal en 1997 lorsque ceux-ci l'incluent dans la désormais célèbre exposition de groupe De fougue et de passion. On l'invite d'ailleurs à y présenter une exposition personnelle en 2000 alors qu’il n'a que 29 ans: une série de grands tableaux ayant pour thème la rosace médiévale. Cette exposition circule par la suite en France, au Centre culturel canadien de Paris pendant l'été de 2001, et partout au Canada en 2003.

Depuis 2000, le Musée d'art contemporain de Montréal, le Musée des beaux-arts de Montréal et le Musée national des beaux-arts du Québec ont acquis des œuvres importantes de Marc Séguin. Ses estampes et ses peintures se trouvent dans de nombreuses collections d'entreprises canadiennes et chez d’importants collectionneurs privés du Québec, du Canada et des États-Unis. À ce jour, Marc Séguin a tenu plus de vingt expositions personnelles et participé à autant d'expositions de groupe et de foires internationales à Madrid, Barcelone, Venise, Berlin, Cologne, New York, Miami, Chicago, Bruxelles et Namur.

Oeuvres littéraires :





Source : galeriesimonblais.com

mardi 21 décembre 2010

Véronique Lettre

Véronique Lettre






Biographie : Véronique Lettre est née à Lac-Beauport, en banlieue de Québec. En 1992, elle quitte sa ville natale pour terminer un baccalauréat en administration marketing à l'Université du Québec à Montréal. Elle est aujourd'hui vice-présidente d'une agence de publicité bien connue de Montréal, et Plus fou
que ça… tumeur !
est son premier ouvrage.

Oeuvres littéraires :




Source : edstanke.com



dimanche 21 novembre 2010

Marguerite Duras

Marguerite Duras




Biographie : Marguerite Duras, nom de plume de Marguerite Germaine Marie Donnadieu, est une écrivaine et cinéaste française, née le 4 avril 1914 à Gia Dinh (autre nom de Saïgon), alors en Indochine française, morte le 3 mars 1996 à Paris.
Son œuvre se distingue par sa diversité et sa modernité qui renouvelle le genre romanesque et bouscule les conventions théâtrales et cinématographiques, ce qui fait de Marguerite Duras une créatrice importante, mais parfois contestée, de la seconde moitié du XXe siècle.
En 1950, elle est révélée par un roman d'inspiration autobiographique, Un barrage contre le Pacifique. Associée au mouvement du Nouveau Roman elle publie ensuite régulièrement des romans qui font connaître sa voix particulière avec la déstructuration des phrases, des personnages, de l'action et du temps, et ses thèmes comme l'attente, l'amour, la sensualité féminine ou l'alcool. Par exemple Le Marin de Gibraltar (1952), Les Petits Chevaux de Tarquinia (1953), Moderato Cantabile (1958), Le Ravissement de Lol V. Stein (1964) ou Le Vice-Consul (1966) et Yann Andréa Steiner (1992), dédié à son dernier compagnon Yann Andréa, écrivain, qui après sa mort deviendra son exécuteur littéraire. Elle rencontre un immense succès public avec L'Amant, Prix Goncourt en 1984, autofiction sur les expériences sexuelles de son adolescence dans l'Indochine des années trente, qu'elle réécrira en 1991 sous le titre de L'Amant de la Chine du Nord.
Elle écrira aussi pour le théâtre, souvent des adaptations de ses romans comme Le Square paru en 1955 et représenté en 1957, et pour le cinéma : elle écrit en 1959 le scénario et les dialogues du film d'Alain Resnais Hiroshima mon amour dont elle publie la transcription en 1960. Elle réalisera elle-même des films originaux comme India Song, en 1975, ou Le Camion en 1977 avec l'acteur Gérard Depardieu.

Oeuvres littéraires :

  • Les Impudents, éd. Plon, 1943.

  • La Vie tranquille, éd. Gallimard, 1944.

  • Un barrage contre le Pacifique, éd. Gallimard, 1950.

  • Le Marin de Gibraltar, éd. Gallimard, 1952.

  • Les Petits Chevaux de Tarquinia, éd. Gallimard, 1953.

  • Des journées entières dans les arbres - Le Boa, Madame Dodin, Les Chantiers, éd. Gallimard, 1954.

  • Le Square, éd. Gallimard, 1955.

  • Moderato Cantabile, Les Éditions de Minuit, 1958.

  • Dix heures et demie du soir en été, éd. Gallimard, 1960.

  • L'Après-midi de Monsieur Andesmas (récit), éd. Gallimard, 1962.

  • Le Ravissement de Lol V. Stein, éd. Gallimard, 1964.

  • Le Vice-Consul, éd. Gallimard, 1966.

  • L'Amante anglaise, éd. Gallimard, 1967.

  • Détruire, dit-elle, éd. Les Éditions de Minuit, 1969.

  • Abahn Sabana David, éd. Gallimard, 1970.

  • L'Amour, éd. Gallimard, 1972.

  • « Ah ! Ernesto », un conte pour enfants, éd. Hatlin Quist, 1971.

  • Vera Baxter ou les Plages de l'Atlantique, éd. Albatros, 1980.

  • L'Homme assis dans le couloir (récit), Les Éditions de Minuit, 1980.

  • L'Été 80, Les Éditions de Minuit, 1980.

  • Les Yeux verts, éd. Les Cahiers du Cinéma, 1987.

  • Outside, éd. Albin Michel, coll. « Illustrations », 1981.

  • L'Homme atlantique, Les Éditions de Minuit, 1982.

  • La Maladie de la mort (récit), Les Éditions de Minuit, 1982.

  • L'Amant, Les Éditions de Minuit, 1984.

  • La Douleur, éd. POL, 1985.

  • Les Yeux bleus, cheveux noirs, Les Éditions de Minuit, 1986.

  • La Pute de la côte normande, Les Éditions de Minuit, 1986.

  • La Vie matérielle, éd. POL, 1987.

  • Emily L., Les Éditions de Minuit, 1987.

  • La Pluie d'été, éd. POL, 1990.

  • L'Amant de la Chine du Nord, éd. Gallimard, 1991.

  • Yann Andréa Steiner, éd. POL, 1992.

  • Écrire, éd. Gallimard, 1993.

  • Le Monde extérieur - Outside 2, éd. POL, 1993.

  • C'est tout, éd. POL, 1995.

  • La Mer écrite (textes de Duras sur des photographies d'Hélène Bamberger), éd. Marval, 1996.

  • Cahiers de la guerre et autres textes, éd. établie par Olivier Corpet et Sophie Bogaert, POL/IMEC, 2006




  • Source : fr.wikipedia.org

    samedi 20 novembre 2010

    Sophie Kinsella

    Sophie Kinsella





    Biographie : Sophie Kinsella, de son vrai nom Madeleine Wickham, née le 12 décembre 1969 à Londres est une femme de lettres anglaise. Elle vit actuellement à Londres avec son mari et ses quatre jeunes fils: Freddy, Hugo, Oscar et Rex. Sa sœur Gemma Townley est aussi une auteur.
    Sophie Kinsella a étudié au New College et est devenue écrivain après avoir été journaliste financière.
    L’adaptation cinématographique des Confessions d'une accro du shopping est sortie le 20 mai 2009 et le DVD est paru en octobre 2009 Tous ses grands succès sont adaptés chez Pocket.

    Oeuvres littéraires :

    Sous le nom de Sophie Kinsella :
    • Série : "L'accro du shopping" :
      • Becky Bloomwood : confessions d'une accro du shopping, Belfond, 2002
      • Becky à Manhattan, Belfond, 2003, aussi publié sous le titre L'accro du shopping à Manhattan
      • L'Accro du shopping dit oui, Belfond, 2004
      • L'Accro du shopping a une sœur, Belfond, 2006
      • L'Accro du shopping attend un bébé, Belfond, 2008
      • Mini Shopaholic (traduction française non connue à ce jour), 2010
    • Samantha, bonne à rien faire, Belfond, 2007
    • Les Petits Secrets d'Emma, Belfond, 2005
    • Lexi Smart a la mémoire qui flanche, Belfond, 2009
    • Très chère Sadie, Belfond, 2010
    Sous le nom de Madeleine Wickham:
    • Une maison de rêve, Belfond, 1999
    • La madone des enterrements, Belfond, 1999
    • Drôle de mariage, Belfond, 2001
    • Des vacances inoubliables, Belfond 2002
    • Un week-end entre amis, Belfond, 2007

    Source : fr.wikipedia.org


    Site internet officiel : http://www.sophiekinsella.co.uk/

    dimanche 14 novembre 2010

    Franz Bartelt

    Franz Bartelt





    Biographie : Franz Bartelt né en octobre 1949, dans l’Eure, est un poète, nouvelliste, dramaturge et feuilletoniste français.

    D'origine poméranienne (Pologne), la famille Bartelt s'installe dans l'Eure où en 1949 naît Frantz Bartelt qui arrive dans les Ardennes à l’âge de quatre ans et s'installe d'abord à Boulzicourt puis à Charleville-Mézières, la région d' Arthur Rimbaud, un endroit prédestiné pour le jeune Franz qui apprend à lire dans les romans policiers que dévore sa mère, et commence à écrire à l'âge de treize ans. Un an plus tard il quitte l'école et gagne sa vie en enchaînant les petits boulots. A dix-neuf ans, il entre dans une usine de transformation de papier à Givet, un autre lieu symbolique pour l'écrivain qu'il est en passe de devenir.
    En 1980, il s'installe à Nouzonville et se consacre à l'écriture. Pendant cinq ans de labeur au rythme des trois-huit, il aligne deux volumes par an sans se soucier de se faire publier.
    À partir de 1985 il fait de l'écriture son unique moyen de subsistance. Poète, nouvelliste, dramaturge et feuilletoniste, il donne également huit pièces de théâtre à France Culture et des chroniques estivales à L'Ardennais.
    À partir de 1995, il connaît la consécration avec la publication de ses romans, tous applaudis par la critique et certains sélectionnés pour les prix littéraires, (Les Fiancés du paradis, La Chasse au grand singe, Le Costume, Les Bottes rouges, Le Grand Bercail et Terrine Rimbaud).
    « Je suis d'un pays construit par le silence. Et qui assemble, vallée contre vallée, d'autres pays vieux et lointains. Ma jeunesse s'est brûlée dans la plaine. Je n'ai que des souvenirs de plein été.
    Je m'en irais bien, certains jours, vers ce temps sans noblesse, qui va. Je m'en irais bien, certains jours, au-devant des fatigues de la liberté, vers ces matins de brumes harnachées de soleils, vers ces rivages verts que le vent pousse dans la mer, vers ces villes de brique rousse et de froid, posées sur des paysages plus lumineux que le ciel. Certains jours, je m'en irais bien pour m'en aller. »
    — Extrait de les marcheurs
    Franz Bartelt écrit des chroniques dans le quotidien L'Ardennais. Depuis les années 1980, il se consacre exclusivement à l'écriture, depuis sa résidence dans les Ardennes.

    Oeuvres littéraires :
    • La mort d'Edgar (2010), Gallimard.
    • Petit Éloge de la vie de tous les jours (2009), Gallimard.
    • Pleut-il? Gallimard, 2007.
    • Chaos de famille Gallimard Série Noire, 2006.
    • Le Bar des habitudes Gallimard, 2005, Folio, 2007, prix Goncourt de la nouvelle.
    • Teddy, avec Blutch Liber Niger, 2005.
    • La beauté maximale Galopin, 2005.
    • Liaison à la sauce Galopin, 2005.
    • Le Jardin du Bossu Gallimard Série Noire, 2004, Folio policier, 2006.
    • Charges comprises Gallimard, 2004.
    • Terrine Rimbaud Estuaire Editions, 2004.
    • Le Grand bercail Gallimard, 2002.
    • Nulle part, mais en Irlande Le Temps qu'il fait, 2002.
    • Les Bottes rouges, Gallimard 2000, Labor, Grand Prix de l'humour noir.
    • Simple, Mercure de France, 1999.
    • Suite à Verlaine photos J.-M. Lecomte, Finn, 1999.
    • Les Marcheurs Finn, 1998.
    • Le Costume Gallimard 1998.
    • La Chasse au grand singe, Gallimard, 1996.
    • Les Fiancés du paradis Gallimard, 1995, Labor, 2006.


    Source : fr.wikipedia.org

    vendredi 12 novembre 2010

    Fédor Dostoïevski

    Fédor Dostoïevski





    
    Biographie : Fedor (Fiodor) Mikhaïlovitch Dostoïevski (en russe : Фёдор Михайлович Достоевский) est un écrivain russe, né à Moscou le 30 octobre du calendrier julien/11 novembre 1821 et mort à Saint-Pétersbourg le 28 janvier du calendrier julien/9 février 1881. Il est généralement considéré comme l'un des plus grands romanciers russes, et a influencé de nombreux écrivains et philosophes.
    Après une enfance difficile, il fréquente une école d'officiers et se lie avec les mouvements progressistes russes. Arrêté pour cette raison en 1849, il est déporté dans un bagne de Sibérie pendant quatre ans. Redevenu sous-lieutenant, il démissionne de l'armée en 1860 et s'engage vraiment dans l'écriture. Épileptique, joueur couvert de dettes et d'un caractère sombre, Dostoïevski mène d'abord une vie d'errance en Europe, dans lequel il devient un fervent « libéral » pour son pays et surtout un patriote convaincu, avant d'être reconnu à son retour en Russie en 1871 après la publication de Crime et Châtiment (1866) et de L'Idiot (1868) qui ouvrent la période de la maturité où l'auteur écrit ses œuvres les plus abouties : L'Éternel Mari (1870), Les Démons (1871) et Les Frères Karamazov (1880).
    Ses romans sont parfois qualifiés de « métaphysiques » tant la question angoissée du libre arbitre et de l'existence de Dieu est au cœur de la réflexion de Dostoïevski tout comme la figure du Christ. Cependant ses œuvres ne sont pas des « romans à thèse », mais des romans où s'opposent de façon dialectique des points de vue différents avec des personnages qui se construisent eux-mêmes, au travers de leurs actes et de leurs interactions sociales.

    Oeuvres littéraires :
    • 1846 : Les Pauvres Gens
    • 1846 : Le Double
    • 1846 : Du danger de se livrer à des rêves ambitieux
    • 1846 : Un roman en neuf lettres
    • 1846 : Monsieur Prokhartchine
    • 1847 : La Logeuse (autre traduction : L'Hôtesse)
    • 1847 : Les Annales de Pétersbourg
    • 1848 : Polzounkov
    • 1848 : La Femme d'un autre et le mari sous le lit
    • 1848 : Un sapin de Noël et un mariage
    • 1848 : Les Nuits blanches
    • 1848 : Un cœur faible
    • 1848 : Les Récits d’un homme d’expérience
      • Le Retraité
      • Le Voleur honnête
    • 1848 : Le Mari jaloux
    • 1848-1849 : Nétotchka Nezvanova (inachevé)
    • 1849 : Le Petit Héros
    • 1855-1859 : Le Rêve de l'oncle
    • 1859 : Le Bourg de Stépantchikovo et sa population (autre traduction : Carnet d’un inconnu (Stépantchikovo))
    • 1861 : Humiliés et offensés
    • 1860-1862 : Souvenirs de la maison des morts (autre traduction  : Les Carnets de la Maison Morte)
    • 1862 : Une sale histoire
    • 1863 : Notes d'hiver sur impressions d'été
    • 1864 : Mémoires écrits dans un souterrain (autres traductions : Les Carnets du sous-sol, Le sous-sol, Manuscrit du souterrain)
    • 1865 : Le Crocodile
    • 1866 : Crime et Châtiment
    • 1866 : Le Joueur
    • 1868 : L'Idiot
    • 1870 : L'Éternel Mari
    • 1871 : Les Démons (autre traduction : Les Possédés)
    • 1873 : Journal de l'écrivain :
      • Bobok
      • Petites images
      • Le Quémandeur
    • 1874 : Petites images (en voyage)
    • 1874-1875 : L'Adolescent
    • 1876 : Journal de l'écrivain :
      • Le Garçon « à la menotte »
      • Le Moujik Maréï
      • La Douce (autres traductions : Une femme douce, Douce, La Timide)
      • La Centenaire
    • 1877 : Journal de l'écrivain :
      • Le Rêve d'un homme ridicule
    • 1878 : Le Triton
    • 1880 : Les Frères Karamazov
    • 1880 : Discours sur Pouchkine


    Source : fr.wikipedia.org

    samedi 6 novembre 2010

    Anton Tchekhov

    Anton Tchekhov




    Biographie : Anton Pavlovitch Tchekhov (en russe : Анто́н Па́влович Че́хов), né le 17 janvier/29 janvier 1860 à Taganrog (Russie) et mort le 2 juillet/15 juillet 1904 à Badenweiler (Allemagne), est un nouvelliste et dramaturge russe, médecin de profession. Ami d’Ivan Bounine, Maxime Gorki, Léon Tolstoï, Fédor Chaliapine, Alexeï Souvorine, il est l’oncle de Mikhaïl Tchekhov, fils de son frère Alexandre et de Natalia Golden, et disciple de Constantin Stanislavski.

    Anton Pavlovitch Tchekhov est né le 29 janvier 1860 (calendrier grégorien), à Taganrog, au bord de la mer d'Azov, en Russie. Ses parents sont des petits commerçants. D’une religiosité excessive, son père est un homme violent, fils d'un affranchi. Anton Tchekhov étudie la médecine à l'université de Moscou et commence à exercer à partir de 1884.
    Sa première nouvelle, Lettre d'un propriétaire à son savant voisin, paraît le 9 mars 1880 dans La Cigale, un hebdomadaire satirique de Saint-Pétersbourg. Se sentant responsable de sa famille, venue s’installer à Moscou après la faillite du père, Tchekhov cherche à augmenter ses revenus en publiant des nouvelles dans divers journaux et sous divers pseudonymes. Le succès arrive assez vite. Il ressent très tôt les premiers effets de la tuberculose, qui l’obligera à de nombreux déplacements au cours de sa vie pour tenter de trouver un climat qui lui convienne mieux que celui de Moscou.

    Bien que répugnant à tout engagement politique, il sera toujours extrêmement sensible à la misère d’autrui. En 1890, en dépit de sa maladie, il entreprend un séjour d'un an au bagne de Sakhaline afin de porter témoignage sur les conditions d’existence des bagnards. L'île de Sakhaline paraitra à partir de 1893. Toute sa vie, il multipliera ainsi les actions de bienfaisance (construction d’écoles, exercice gratuit de la médecine, etc.).

    Ses nouvelles d’abord, son théâtre ensuite, le font reconnaitre de son vivant comme une des gloires nationales russes, à l’égal d’un Dostoievski ou d’un Tolstoï.
    Après avoir longtemps repoussé toute perspective de mariage, il se décide, en 1901, à épouser Olga Leonardovna Knipper (1870-1959), actrice au Théâtre d’art de Moscou.
    Lors d’une ultime tentative de cure, Anton Tchekhov meurt le 2 juillet 1904 à Badenweiler en Allemagne. Au médecin qui se précipite à son chevet, il dit poliment en allemand : « Ich sterbe » (je meurs). Ayant refusé de l’oxygène, on lui apporte… du champagne, et ses derniers mots seraient, d’après Virgil Tanase : « Cela fait longtemps que je n’ai plus bu de champagne ». Ayant bu, il se couche sur le côté et meurt. Le 9 juillet, il est enterré à Moscou, au cimetière de Novodevitchi.

    Oeuvres littéraires :

    Théâtre
    

    • Platonov (v. 1878), dont le texte a été découvert en 1921.
    • Ivanov (1887), pièce en quatre actes, un nouvel Hamlet mélancolique
    • L'Homme des bois ou Le Sauvage ou Le Génie des forêts ou Le Sylvain (1889), comédie en quatre actes
    • La Mouette (1896)
    • Oncle Vania (1899-1900) inspiré de L'Homme des bois
    • Les Trois Sœurs (1901)
    • La Cerisaie (1904)

    Pièces en un acte

    • Sur la grand-route (1885)
    • Les Méfaits du tabac (1886 ; 1902)
    • Le Chant du cygne (1886)
    • L'Ours (1888)
    • Une demande en mariage (v. 1888-1889)
    • Tragédien malgré lui
    • Une noce
    • Un jubilé
    • Tatiana Répina (1889)

    Essais

    • Un voyage à Sakhaline (1895), comprenant : L'île de Sakhaline, À travers la Sibérie, Correspondance

    Romans

    • Drame de chasse (1884-1885)
    • La Steppe, Prix Pouchkine, 1888
    Nouvelles
    • Lettre à un savant voisin (1880)
    • Le Jugement (1881)
    • Le Miroir déformant. Conte de Noël (1882)
    • Une grande joie (1882)
    • Mauvaise rencontre (1882)
    • L'Idylle interrompue (1882)
    • Chez le barbier (1883)
    • Extraits du journal d'un aide comptable (1883)
    • La Mort d'un fonctionnaire (1883)
    • Le Tragédien (1883)
    • Une calomnie (1883)
    • Masques (1883)
    • Le Roman de l'avocat (1883)
    • Une femme sans préjugés (1883)
    • La Collection (1883)
    • Une chiffe (1883)
    • Dans notre siècle à l'esprit pratique, quand... (1883)
    • Le Répétiteur (1884)
    • Chirurgie (1884)
    • L'Acteur comique (1884)
    • Une nuit d'épouvante (1884)
    • Les Huîtres (1884)
    • Le Miroir déformant (1884)
    • Chez la maréchale de la noblesse (1885)
    • En villégiature (1885)
    • Au bain (1885)
    • Egarés (1885)
    • Les Bottes (1885)
    • En terre étrangère (1885)
    • Remède contre les crises d'ivrognerie (1885)
    • Le Visiteur (1885)
    • Un chien de prix (1885)
    • L'Écrivain (1885)
    • Règles à l'usage des jeunes auteurs (1885)
    • Le Portefeuille (1885)
    • En wagon (1885)
    • Un chef-d'œuvre (1886)
    • La Fin d'un acteur (1886)
    • Le Roman de la contrebasse (1886)
    • Le Jubilé (1886)
    • La Pharmacienne (1886)
    • Le Champagne (1887)
    • Jour de glace (1887)
    • Le Mendiant (1887)
    • Ennemis (1887)
    • Ténèbres (1887)
    • Polinka (1887)
    • Ivrognes (1887)
    • Inadvertance (1887)
    • Véra (1887)
    • Veille de Carême (1887)
    • Une créature sans défense (1887)
    • Un mauvais coup (1887)
    • À la maison (1887)
    • Le numéro gagnant (1887)
    • Fièvre typhoïde (1887)
    • Les Ennuis de l'existence (1887)
    • Semaine sainte (1887)
    • Le Mystère (1887)
    • La lettre (1887)
    • Faits divers (1887)
    • Le Juge d'instruction (1887)
    • Volodia (1887)
    • La Fortune (1887)
    • Intempérie (1887)
    • Un drame (1887)
    • Premiers secours (1887)
    • Le Fruit du péché (1887)
    • Fragment du journal d’un irascible (1887)
    • Un roule ta bosse (1887)
    • Le Père (1887)
    • Une bonne fin (1887)
    • Dans la remise (1887)
    • Zinotchka (1887)
    • La sirène (1887)
    • Le pipeau (1887)
    • Le Vengeur (1887)
    • La poste (1887)
    • La noce (1887)
    • Le fugitif (1887)
    • Un problème (1887)
    • Intrigues (1887)
    • La vieille maison (1887)
    • Impassibilité (1887)
    • Des leçons onéreuses (1887)
    • Le lion et le soleil (1887)
    • Infortune (1887)
    • Le baiser (1887)
    • Les garçons (1887)
    • Kachtanka (1887)
    • Les récits de Melle X (1887)
    • Sans titre (1888)
    • L'envie de dormir (1888)
    • Un désagrément (1888)
    • Beautés (1888)
    • Jour de fête (1888)
    • La crise (1888)
    • Le savetier et le malin (1888)
    • Le Pari (1889)
    • La princesse (1889)
    • Les Garces (1891)
    • Le Duel (1891)
    • Ma femme (1892)
    • La Cigale (1892)
    • Après le théâtre (1892)
    • En déportation (1892)
    • Les Voisins (1892)
    • La Salle n° 6 (1892)
    • La Peur (1892)
    • Récit d'un inconnu (1893)
    • Vladimir le grand et Vladimir le petit (1893)
    • Le Moine noir (1894)
    • Un royaume de femmes (1894)
    • Le violon de Rothschild (1894)
    • L'Étudiant (1894)
    • Le Professeur de lettres (1894)
    • Dans une gentilhommière (1894)
    • Le Récit d'un jardinier-chef (1894)
    • Trois années (1895)
    • Anne au cou (1895)
    • Front blanc (1895)
    • Un meutre (1895)
    • Ariane (1895)
    • La Maison à mezzanine (1896)
    • Ma vie (1896)
    • Les Moujiks (1897)
    • Le Petchénègue (1897)
    • Dans son coin natal (1897)
    • En tombereau (1897)
    • L'Homme à l'étui (1898)
    • Les Groseilliers (1898)
    • De l'amour (1898)
    • Ionytch (1898)
    • Une visite médicale (1898)
    • Douchetchka (1899)
    • La Nouvelle Villa (1899)
    • En service (1899)
    • La Dame au petit chien (1899)
    • À Noël (1900)
    • Dans la combe (1900)
    • L'Évêque (1902)
    • La Fiancée (1903)


    Source : fr.wikipedia.org

    samedi 23 octobre 2010

    Stephanie Janicot

    Stephanie Janicot






    Biographie : Stéphanie Janicot est née à Rennes en 1967. Journaliste à Bayard presse depuis 1992 (après des études de droit et de sciences politiques), elle a participé à la création du magazine Muze, au lectorat féminin et jeune, dont elle anime les rubriques littéraires (entretiens, relecture de grands classiques, panorama de la littérature contemporaine française et étrangère).
    Le premier roman de Stéphanie Janicot,
    Les Matriochkas (1996), a été salué par la critique
    et par plusieurs prix (prix Goya, prix Palissy, prix René Fallet…). Elle a ensuite publié Des profondeurs… (1997), Salam (1999) et Ulysse (2000) avec Jean Trolley. Depuis Soledad (juin 2000), ses livres sont publiés aux éditions Albin Michel. Une Traviata (mars 2001) achève le cycle consacré aux illusions de jeunesse, à la recherche d’infini et amorce une étude plus resserrée des relations humaines.
    Non, ma mère n’est pas un problème (septembre 2002) évoque la difficile compréhension entre hommes et femmes. La Constante de Hubble (septembre 2003) évoque la trahison conjugale et la nécessaire solidarité féminine. Un recueil de nouvelles aux personnages qui se croisent et finissent par composer presque un roman, Tu n’es pas seul(e) à être seul(e) (mai 2005), analyse les différentes formes de solitude dans
    notre société. Paru en 2006, Cet effrayant besoin de famille décrit les rapports entre frères et sœurs à l’occasion d’une succession. Stéphanie Janicot a reçu le prix Femmes de lettres pour Dans la tête de Shéhérazade (août 2008).

    Oeuvres littéraires :
    • Les Matriochkas (Zulma, 1996) Prix Goya du premier roman, Prix Palissy, Prix René Fallet, Prix du premier roman de l'Université d'Artois
    • Des Profondeurs (Zulma, 1997)
    • Salam (Zulma, 1999)
    • Soledad (Albin michel, 2000)
    • Ulysse (Zulma, 2000)
    • Une traviata (Albin michel, 2001)
    • Non, ma mère n'est pas un problème (Albin michel, 2002)
    • La Constante de Hubble (Albin michel, 2003)
    • Tu n'es pas seul(e) à être seul(e) (Albin Michel, 2005)
    • Cet effrayant besoin de famille (Albin Michel, 2006)
    • Le privilège des rêveurs (Albin Michel, 2007)
    • 100 romans de première urgence pour (presque) tout soigner (Albin Michel, 2008)
    • Dans la tête de Shéhérazade (Albin Michel, 2008)
    • L'Œil du cyclone (Albin Michel, 2009)
    • Que tous nous veuille absoudre (Albin Michel, 2010)

    Source : stephanie-janicot.com, fr.wikipedia.org

    Site internet de l'auteur : http://www.stephanie-janicot.com/

    Shakespeare

    William Shakespeare






    Biographie : William Shakespeare, né probablement le 23 avril 1564, baptisé le mercredi 26 avril 1564 en l'église de la Sainte-Trinité de Stratford-upon-Avon, mort le 23 avril 1616 (52 ans) est considéré comme l'un des plus grands poètes, dramaturges et écrivains de la culture anglaise. Il est réputé pour sa maîtrise des formes poétiques et littéraires ; sa capacité à représenter les aspects de la nature humaine est souvent mise en avant par ses amateurs.
    Figure éminente de la culture occidentale, Shakespeare continue d’influencer les artistes d’aujourd’hui. Il est traduit dans un grand nombre de langues et ses pièces sont régulièrement jouées partout dans le monde. Shakespeare est l’un des rares dramaturges à avoir pratiqué aussi bien la comédie que la tragédie.
    Shakespeare écrivit trente-sept œuvres dramatiques entre les années 1580 et 1613. Mais la chronologie exacte de ses pièces est encore sujette à discussion. Cependant, le volume de ses créations n'apparaît pas comme exceptionnel en regard des critères de l’époque.
    On mesure l’influence de Shakespeare sur la culture anglo-saxonne en observant les nombreuses références qui lui sont faites, que ce soit à travers des citations, des titres d’œuvres ou les innombrables adaptations de ses travaux. L'anglais est également surnommé « la langue de Shakespeare ».

    Oeuvres littéraires :
    • Roméo et Juliette (Romeo and Juliet)
    • Macbeth
    • Le Roi Lear (King Lear)
    • Hamlet, prince de Danemark (Hamlet, Prince of Denmark)
    • Othello ou le Maure de Venise (Othello, the Moor of Venice)
    • Titus Andronicus
    • Jules César (Julius Caesar)
    • Antoine et Cléopâtre (Antony and Cleopatra)
    • Coriolan (Coriolanus)
    • Troïlus et Cressida (Troilus and Cressida)
    • Timon d'Athènes (Timon of Athens)
    • Tout est bien qui finit bien (All's Well that Ends Well)
    • Comme il vous plaira (As You Like It)
    • Le Songe d'une nuit d'été (A Midsummer Night's Dream)
    • Beaucoup de bruit pour rien (Much Ado About Nothing)
    • Mesure pour mesure (Measure for Measure)
    • La Mégère apprivoisée (The Taming of the Shrew)
    • La Nuit des rois (Twelfth Night)
    • Le Marchand de Venise (The Merchant of Venice)
    • Les Joyeuses Commères de Windsor (The Merry Wives of Windsor)
    • Peines d'amour perdues (Love's Labour's Lost)
    • Les Deux Gentilshommes de Vérone (The Two Gentlemen of Verona)
    • La Comédie des erreurs (The Comedy of Errors)
    • Richard III
    • Richard II
    • Henri VI, 1re partie, 2e partie, 3e partie (Henry VI, Part 1, Part 2, Part 3)
    • Henri V (Henry V)
    • Henri IV, 1re partie, 2e partie (Henry IV, Part 1, Part 2)
    • Henri VIII (Henry VIII)
    • Le Roi Jean (King John)
    • Édouard III (Edward III)
    • Sir Thomas More
    • Péricles, prince de Tyr (Pericles, Prince of Tyre)
    • Cymbeline 
    • Le Conte d'hiver (The Winter's Tale
    • La Tempête (The Tempest
    • Les Deux Nobles Cousins (The Two Noble Kinsmen)
    • Les Sonnets
    • Vénus et Adonis (1593)
    • Le Viol de Lucrèce (1594)
    • Pilgrim le passioné
    • Le Phénix et la Colombe
    • La Complainte d'un amoureux
    • Moi et toi jusqu'aux mortels
    • Longs poèmes

      Source : fr.wikipedia.org

    Ki Edwards

    Kim Edwards





    Biographie : Américaine, Kim Edwards a vécu cinq ans en Asie où elle a enseigné l'anglais. L’Enfant de tous les silences, son premier roman, a été un véritable phénomène aux États-Unis, où il a battu tous les records de présence sur les listes de best-sellers. Il est traduit dans plus de vingt langues.


    Oeuvres littéraires :

    L'enfant de tous les silences ( 2009 )


    Source : livredepoche.com

    Aristophane

    Aristophane






    Biographie : Aristophane (en grec ancien Ἀριστοφάνης / Aristophánēs) est un poète comique grec du Ve siècle <abbr>av. J.-C.</abbr>, né dans le dème de Kydathénée vers 450–445 et mort vers 385 av. J.-C.

    Il débuta jeune au théâtre, se fit connaître par deux pièces aujourd'hui perdues : les Détaliens ou les Banqueteurs (427) et les Babyloniens (426). Il écrivit de nombreuses comédies, dont la plupart ne nous sont connues que par des fragments. Onze nous sont parvenues : les Acharniens (425) et la Paix (421), où l'auteur intervient franchement dans la politique et combat le parti de la guerre ; les Cavaliers (424), où il attaque ouvertement Cléon, le tout puissant démagogue ; les Nuées (423) où il raille Socrate ; les Guêpes (422), où il tourne en ridicule l'organisation des tribunaux athéniens et les manies des juges ; les Oiseaux (414), où il s'en prend aux utopies politiques et sociales, comme plus tard dans Lysistrata (411) et dans l'Assemblée des femmes (392) ; les Thesmophories (411), et les Grenouilles (405), satires littéraires dirigés contre Euripide. Cependant, la hardiesse des poètes comiques, le retour au pouvoir du parti aristocratique, et les malheurs d'Athènes, avaient amené une réaction contre la liberté du théâtre. Cette réaction s'était dessinée déjà vers (412) et sous les Trente: elle aboutit vers (388), semble-t-il, à une loi qui interdisait formellement les attaques contre les personnes. C'était l'arrêt de mort de la comédie ancienne. Aristophane tenta des voies nouvelles : par le Cocalos (aujourd'hui perdu) et la seconde édition du Ploutos (388), il inaugura la satire des mœurs, d'où devait sortir la comédie nouvelle des Athéniens.
    Sauf le Ploutos et les pièces contre Euripide, les comédies d'Aristophane sont des satires sociales ou des pamphlets politiques. Attaché au parti aristocratique, le poète se servit largement des libertés que lui laissait l'état populaire pour attaquer les institutions et les chefs de file de la démocratie. Entre ses mains, la comédie devint une puissance qu'on a comparée justement à la presse politique moderne. Considérée au point de vue de l'art, l'œuvre d'Aristophane est l'une des merveilles du génie grec. Il y a une verve incroyable et une étonnante fantaisie dans ses dialogues satiriques, mêlés de chœurs lyriques, où les connaisseurs ont toujours admiré la parfaite concordance du fond et de la forme, de l'idée, de l'expression et du rythme. Les pièces d'Aristophane sont très précieuses pour la connaissance de l'histoire du temps, des institutions et des mœurs athéniennes à la fin du Ve siècle av. J.-C.

    Oeuvres littéraires :
    • 425 : Les Acharniens (Ἀχαρνεῖς / Akharneîs) anciennement Les Akharniens, 1er prix, incitant à cesser la Guerre du Péloponnèse
    • 424 : Les Cavaliers (Ἱππεῖς / Hippeîs) anciennement Les Chevaliers, 1er prix, contre le démagogue belliciste Cléon
    • 423 : Les Nuées (Νεφέλαι / Nephélai) parfois Les Nuages (nous avons la 2de version alias Les Nuées II, partiellement retouchée vers -417), 3e prix, contre les Sophistes, qu'il symbolise à tort par Socrate
    • 422 : Les Guêpes (Σφῆκες / Sphễkes), 2e prix, sur le dévoiement de la justice et la manie athénienne des procès
    • 421 : La Paix (Εἰρήνη / Eirḗnē) (nous avons la <abbr>1re</abbr> version alias La Paix I), 2e prix, sur la paix de Nicias
    • 414 : Les Oiseaux (Ὄρνιθες / Órnithes), 2e prix, sur sa déception des Athéniens sur le point de relancer la guerre
    • 411 : Lysistrata (Λυσιστράτη / Lysistrátē), prix inconnu, une conspiration des femmes en faveur de la paix
    • 411 : Les Thesmophories (Θεσμοφοριάζουσαι / Thesmophoriádzousai) alias Les Thesmophorieuses (nous avons la <abbr>1re</abbr> version alias Les Thesmophories I), prix inconnu, sur Euripide et la misogynie de ses pièces
    • 405 : Les Grenouilles (Βάτραχοι / Bátrakhoi), 1er prix, sur le déclin de l'art tragique, attribué à Euripide
    • 392 ou 391 : L’Assemblée des femmes (Ἐκκλησιάζουσαι / Ekklēsiádzousai) alias Les Femmes à l'Assemblée, anciennement Les Harangueuses, prix inconnu, utopie satirique sur le féminisme et le collectivisme
    • 388 : Ploutos (Πλοῦτος / Ploûtos) alias Plutus, parfois L'Argent (c'est la 2e version alias Ploutos II), prix inconnu, utopie satirique sur le partage des richesses


    Source : fr.wikipedia.org

    vendredi 22 octobre 2010

    Sophocle

    Sophocle





    Biographie : Sophocle (en grec ancien : Σοφοκλῆς / Sophoklễs), né à Colone en 496 ou 495 av. J.-C. et mort en 406 ou 405 av. J.-C. est l'un des trois grands tragédiens grecs dont l'œuvre nous est partiellement parvenue, avec Eschyle (526-456) et Euripide (480-406). Il est principalement l'auteur de cent-vingt-deux pièces dont une centaine de tragédies et dont seules sept nous sont parvenues. Cité comme paradigme de la tragédie par Aristote, notamment pour l'usage qu'il fait du chœur, et pour sa pièce Œdipe roi, il remporte également le nombre le plus élevé de victoires au concours tragique des grandes Dionysies (dix-huit), et n'y figure jamais dernier.
    Son théâtre rompt avec la trilogie « liée » et approfondit les aspects psychologiques des personnages. Ses pièces mettent en scène des héros, souvent solitaires et même rejetés (Ajax, Antigone, Œdipe, Électre), et confrontés à des problèmes moraux desquels naît la situation tragique. Comparé à Eschyle, Sophocle ne met pas ou peu en scène les dieux, qui n'interviennent que par des oracles dont le caractère obscur trompe souvent les hommes, sur le mode de l'ironie tragique.

    Les détails de la vie de Sophocle sont connus, bien qu'assez mal, grâce à une compilation anonyme, à la Souda et aux mentions d'auteurs comme Plutarque ou Athénée. Il est le fils d'un certain Sophilos et naît en 496 (selon la chronique de Paros) ou en 495 (selon son biographe anonyme), à Colone, village près d'Athènes, où il situera sa dernière pièce Œdipe à Colone. Il suit une éducation très soigneuse, notamment en musique, où il profite des leçons du célèbre Lampros, et en gymnastique : à seize ans, il lui revient de conduire le chœur du triomphe de Salamine,. Exact contemporain de Périclès, Sophocle connaît l'apogée athénien, et participe à la vie politique : il est désigné parmi les hellénotames (trésoriers de la ligue de Délos) en 443-442, et parmi les stratèges à deux reprises, notamment en 440 lors de l'expédition contre Samos. À quatre-vingt-trois ans, il fait également partie des dix conseillers désignés après le désastre de Sicile.
    La carrière de tragédien de Sophocle débute au plus tôt en 468. Cette année-là, la trilogie dont fait partie son Triptolème est couronnée du premier prix, notamment devant Eschyle. Sophocle est le rival de ce dernier pendant douze ans, avant qu'Euripide le concurrence à son tour dès 455.
    Sophocle meurt en 406 ou 405. Il est le père de Iophon, fils de l'athénienne Nicostrate, et d'Ariston, fils de la sicyonienne Thoris. Suidas mentionne trois autres fils : Léosthénès, Stéphanos et Ménécléidès. Ariston est le père de Sophocle le Jeune, également doué pour la tragédie, sous les soins de qui est représenté la dernière pièce de son grand-père, Œdipe à Colone, en 401.

    Oeuvres littéraires :

    Ajax
    Antigone
    Les Trachiniennes
    Oedipe roi
    Électre
    Philoctète
    Oedipe à Colone
    Les limiers


    Source : fr.wikipedia.org

    Cate Tiernan

    Cate Tiernan






    Biographie

    Cate Tiernan (de son vrai nom Gabrielle Charbonnet, née le 24 juillet 1961 à La Nouvelle-Orléans) est une femme de lettres américaine.
    Elle vit en Caroline du Nord avec ses deux filles.
    Cate Tiernan est devenue écrivain parce qu'elle pensait qu'elle avait des choses à dire aux jeunes, et qu'elle pourrait bien le faire.
    Elle a écrit des romans pour les jeunes adultes basés sur le monde magique. Mais son travail le plus connu est "Sweep", série parlant de la Wicca. Elle n'est pourtant pas Wiccane, bien qu'elle apprécie beaucoup d'aspects de cette religion, surtout sa tradition de reconnaître la puissance de la femme.

    Oeuvres littéraires

    • Chez Pocket Jeunesse, sous le titre de "MAGIE BLANCHE" :
    1. T. 1. L'éveil de Morgane, octobre 2006
    2. T. 2 Le rituel du cercle, octobre 2006
    3. T. 3 Sorcière de sang, octobre 2006
    4. T. 4 Le bucher, octobre 2006
    5. T. 5 Lumières et ténèbres, mars 2007
    6. T. 6 L'alliance des pouvoirs, juin 2007
    7. T. 7 Liens sacrés, septembre 2007
    • Chez Ada, sous le titre de "SORCIÈRE"
    1. T. 2 Le cercle


    Source : fr.wikipedia.org

    Linda Joy Singleton

    Linda Joy Singleton




      

    Biographie : Linda Joy Singleton, née en 1957, est une auteur américaine de littérature d'enfance et de jeunesse. Elle habite dans le nord de la Californie. Elle a deux enfants adultes et un mari merveilleux qui lui apporte du soutien et qui aime l'accompagner en voyage à la recherche d'histoires inhabituelles.

    Oeuvres littéraires :
    • Cap sur l'amour, 2001

    De la série Visions :
    • Ne meurs pas libellule, 2007
    • La dernière danse, 2007
    • Boule de cristal, 2008
    • Croiser le fer, 2008
    • La Breloque du destin, 2008

    De la série Rencontres de l'étrange :
    • Oh non ! OVNI !, 2008
    • Lutinerie ! 2008
    • La Magie des sirènes, 2008

    De la série Morte Vivante :

    Anne Brontë

    Anne Brontë





    Biographie : Anne Brontë (17 janvier 1820 - 28 mai 1849) est, tout comme ses sœurs Emily Brontë et Charlotte Brontë, une femme de lettres britannique.
    Elle est fortement marquée par son expérience de gouvernante, qu'elle décrit en particulier dans Agnes Grey avec un fort souci de véracité, en soulignant la lourde responsabilité des parents dans le manque de rectitude morale chez les enfants de certaines familles riches.
    Son second roman, The Tenant of Wildfell Hall (La Locataire de Wildfell Hall), est marqué par la déchéance de son frère Branwell.
    Très proche de sa sœur Emily, au point qu'on les a comparées à des jumelles, elle participe avec elle au cycle de Gondal.

    Gouvernante à moins de 19 ans, elle est remerciée de son premier emploi au bout de deux trimestres. Puis elle trouve une place chez le révérend Edmund Robinson, qui a trois filles et un fils de neuf ans, chez lequel elle demeure quatre ans. Peu après la mort de son frère Branwell et de sa sœur Emily en septembre et décembre 1848, Anne Brontë meurt en mai 1849, de la tuberculose comme son frère et ses quatre sœurs, dans la station balnéaire de Scarborough, dans le Yorkshire, où elle s'est rendue, accompagnée de sa sœur Charlotte et de Ellen Nussey, avec l'espoir que l'air marin lui ferait du bien. Elle a été enterrée dans le cimetière de St Mary's à Scarborough.
    D'après sa sœur Charlotte, Anne avait un esprit empreint de religiosité, une nature sensible, habitée d'une certaine mélancolie. Plutôt réservée, elle masquait ses pensées et ses sentiments sous une sorte de « voile de nonne rarement soulevé ».

    Dans le cas de Anne Brontë, les influences littéraires révélées par Agnes Grey et The Tenant of Wildfell Hall sont beaucoup moins nettes que dans les œuvres de ses sœurs : ses deux romans sont largement fondées sur son expérience de gouvernante pour le premier et sur le spectacle de la déchéance de Branwell Brontë pour le second. De plus, ils s'appuient sur un certain réalisme et tentent de présenter les faits racontés sans travestissement. Anne est, en effet, habitée par la conviction, héritée de son père et de son enseignement biblique, qu'un livre doit offrir une leçon morale exemplaire.
    Outre l'éducation donnée par Patrick Brontë, Anne subit aussi l'influence de sa tante, Elizabeth Branwell qui est une ardente Méthodiste. Sa rigueur morale, son sens très Wesleyien de l'amélioration personnelle par l'effort et l'étude sont transmis à tous les membres de la famille et trouvent un écho particulier chez la plus jeune des sœurs.
    L'œuvre d'Anne laisse également transparaître l'influence de Walter Scott et des romans gothiques d'Ann Radcliffe, d'Horace Walpole, de Gregory « Monk » Lewis ou de Charles Maturin[3], mais de façon beaucoup moins nette que chez Charlotte et Emily.

    Oeuvres littéraires :

  • Poèmes par Currer, Ellis et Acton Bell, 1846



  • Agnes Grey, 1847



  • La Locataire de Wildfell Hall (The Tenant of Wildfell Hall), 1848

    Source : fr.wikipedia.org