Le gardénia blanc
Éditions : Belfond
Année : 2005
Pages : 420
Catégorie : Romans dramatiques
Âge : Dès 12 ans
Résumé : Des confins de la Chine au bush australien en passant par les clubs enfumés de Shanghai, de la fin de la Seconde Guerre mondiale aux années soixante, le destin d'une exilée prête à tout pour conquérir sa place. Un superbe roman, plein de souffle, d'ampleur et d'exotisme.
Anya, petite fille russe exilée en Chine, a treize ans lorsque sa vie bascule dans l'horreur : son père, ex-officier du tsar, meurt accidentellement, tandis que sa mère est déportée en URSS. Anya est sauvée de justesse par des voisins, qui l'envoient à Shanghai, chez leur ami Sergei, un propriétaire de night-clubs.
Sergei est bon et généreux, mais il est aussi opiomane ; Amelia, son épouse américaine, fait preuve d'une grande hostilité envers la jeune fille. Malgré cela, Anya découvre le luxe, la vie facile, et l'amour en la personne de Dimitri, à qui elle se donne corps et âme.
Hélas ! l'amour connaît bien des tourments, et Anya va découvrir le goût amer de la trahison...
Source : belfond.fr
Mon avis ( octobre 2009 ) : D’entrée de jeu, je m’attendais à un magnifique roman qui m’aurait accroché du début à la fin, sans perdre mon attention. Cette lecture s’est révélée être le contraire puisque j’ai eu un brin de difficulté à poursuivre l’histoire et ce, malgré tous les bons côtés que génèrent ce roman. Je ne peux pas dire pourquoi ce bouquin ne m’a pas emmenée dans son monde car je ne vois aucune ombre sur le tableau. L’histoire, dans son contexte, est magnifique et triste à la fois et le personnage d’Anya est d’un courage singulier auquel on peut facilement s’attacher. L’intrigue est teintée de rebondissements surprenants et l’écriture de Belinda Alexandra est d’une grande douceur, me rappelant à l’occasion la plume de Danielle Steel, sans pour autant lui être similaire. À vrai dire, mon avis est mitigé. Je pense plutôt que l’écriture ne m’a pas atteinte personnellement ( ce qui peut arriver bien souvent lorsqu'on nage dans l'univers livresque ), mais qu’il plaira sans doute à beaucoup d’autres personnes puisque je n’y vois que du talent de la part de l'auteure.
Sergei est bon et généreux, mais il est aussi opiomane ; Amelia, son épouse américaine, fait preuve d'une grande hostilité envers la jeune fille. Malgré cela, Anya découvre le luxe, la vie facile, et l'amour en la personne de Dimitri, à qui elle se donne corps et âme.
Hélas ! l'amour connaît bien des tourments, et Anya va découvrir le goût amer de la trahison...
Source : belfond.fr
Mon avis ( octobre 2009 ) : D’entrée de jeu, je m’attendais à un magnifique roman qui m’aurait accroché du début à la fin, sans perdre mon attention. Cette lecture s’est révélée être le contraire puisque j’ai eu un brin de difficulté à poursuivre l’histoire et ce, malgré tous les bons côtés que génèrent ce roman. Je ne peux pas dire pourquoi ce bouquin ne m’a pas emmenée dans son monde car je ne vois aucune ombre sur le tableau. L’histoire, dans son contexte, est magnifique et triste à la fois et le personnage d’Anya est d’un courage singulier auquel on peut facilement s’attacher. L’intrigue est teintée de rebondissements surprenants et l’écriture de Belinda Alexandra est d’une grande douceur, me rappelant à l’occasion la plume de Danielle Steel, sans pour autant lui être similaire. À vrai dire, mon avis est mitigé. Je pense plutôt que l’écriture ne m’a pas atteinte personnellement ( ce qui peut arriver bien souvent lorsqu'on nage dans l'univers livresque ), mais qu’il plaira sans doute à beaucoup d’autres personnes puisque je n’y vois que du talent de la part de l'auteure.
L’histoire d’Anya, quant à elle, est tragique et semée d’épreuves plus ou moins joyeuses. Séparée de sa mère alors qu'elle n’était âgée que de treize ans, elle est accueillit dans la fameuse métropole de Shangai où elle y vivra les premiers émois de l’adolescence. J’admire sa ténacité face aux évènements de la vie et le fait qu’elle puisse aimer encore son mari alors qu’il ne lui a fait que du mal psychologiquement m’impressionne énormément. Sa traversée jusqu’en Australie est palpitante, malgré les temps difficiles dans laquelle Anya se retrouve. Même si traitée indifféremment par les autres à cause de ses origines russes, elle trouvera lors de son périple des amis chers qui lui serviront de support tout au long de sa nouvelle vie en Australie. Ses talents seront mis à profits par de généreuses personnes du monde journalistique et c’est dans ce pays ensoleillé qu’elle trouvera enfin le bonheur, voir même oublier son passé pour le moins houleux tout en gardant toujours espoir de rerouver sa mère. Finalement, le récit se termine sur une note sublime, dans une légère ambiance familiale, en plein cœur de la Russie. Le dénouement conclut avec beauté la fin des malheurs de cette chère Anya qui, enfin, pourra reprendre une existence normale.
Ceci dit, c’est un excellent roman, mais qui ne m’a pas emportée complètement au côté d’Anya. Par contre, je vous le conseille tout de même puisque cette histoire délicieuse vous charmera inévitablement étant donné que je n'ai entendu que du bien de ce livre. Belinda Alexandra a bien du talent et j’espère que ses prochains romans me bousculeront avec beaucoup plus de profondeur.
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