Des paroles d'une extrême vérité venant d'une
chanteuse rap qui milite pour la liberté. Lisez-bien
le texte et regardez entre les lignes. Une chanson que tout
le monde devrait écouter au moins une fois dans sa vie.
Le cinquième soleil
Mon espèce s'égare, l'esprit qui surchauffe
Les gens se détestent,
la guerre des égos
XXIème siècle, cynisme et mépris
Non-respect de la Terre, folie plein les tripes
Frontières, barricades, émeutes et matraques
Cris et bains de sang, bombes qui éclatent
Politique de la peur, science immorale
Insurrection d'un peuple, marché des armes
Les gens se détestent,
la guerre des égos
XXIème siècle, cynisme et mépris
Non-respect de la Terre, folie plein les tripes
Frontières, barricades, émeutes et matraques
Cris et bains de sang, bombes qui éclatent
Politique de la peur, science immorale
Insurrection d'un peuple, marché des armes
Nouvel ordre mondial, fusion de terreur
l'Homme l'animal le plus prédateur
Le système pue la mort, assassin de la Vie
A tué la mémoire pour mieux tuer l'avenir
Des disquettes plein la tête, les sens nous trompent
Le troisième œil ouvert car le cerveau nous ment
L'être humain s'est perdu, a oublié sa force
A oublié la lune, le soleil et l'atome
l'Homme l'animal le plus prédateur
Le système pue la mort, assassin de la Vie
A tué la mémoire pour mieux tuer l'avenir
Des disquettes plein la tête, les sens nous trompent
Le troisième œil ouvert car le cerveau nous ment
L'être humain s'est perdu, a oublié sa force
A oublié la lune, le soleil et l'atome
Inversion des pôles, vers la haine se dirige
A perdu la raison pour une excuse qui divise
L'égoïsme en devise, époque misérable
Haine collective contre rage viscérale
Une lueur dans le cœur, une larme dans l'œil
Une prière dans la tête, une vieille douleur
Une vie de rancœur là où meurt le pardon
Où même la Foi prend peur, allez viens, nous partons !
A perdu la raison pour une excuse qui divise
L'égoïsme en devise, époque misérable
Haine collective contre rage viscérale
Une lueur dans le cœur, une larme dans l'œil
Une prière dans la tête, une vieille douleur
Une vie de rancœur là où meurt le pardon
Où même la Foi prend peur, allez viens, nous partons !
Des lois faites pour le peuple et les rois tyrannisent
Confréries et business en haut de la pyramide
Ça sponsorise le sang entre chars et uzis
Innocent dans un ciel aux couleurs des usines
Un silence de deuil, une balle perdue
Toute une famille en pleurs, un enfant abattu
Des milices de l'État, des paramilitaires
Des folies cérébrales, des peuples entiers à-terre !
Confréries et business en haut de la pyramide
Ça sponsorise le sang entre chars et uzis
Innocent dans un ciel aux couleurs des usines
Un silence de deuil, une balle perdue
Toute une famille en pleurs, un enfant abattu
Des milices de l'État, des paramilitaires
Des folies cérébrales, des peuples entiers à-terre !
Bidonvilles de misères à l'entrée des palaces
Liberté volée, synonyme de paperasse
L'humanité troquée contre une vie illusoire
Entre stress du matin et angoisse du soir
Des névroses plein la tête, les nerfs rompus
Caractérisent l'homme moderne bien souvent corrompu
Et quand la ville s'endort, arrive tant de fois
Une mort silencieuse, un S.D.F dans le froid
Liberté volée, synonyme de paperasse
L'humanité troquée contre une vie illusoire
Entre stress du matin et angoisse du soir
Des névroses plein la tête, les nerfs rompus
Caractérisent l'homme moderne bien souvent corrompu
Et quand la ville s'endort, arrive tant de fois
Une mort silencieuse, un S.D.F dans le froid
Prison de ciment, derrière les œillères
le combat est si long pour un peu de lumière
Les familles se déchirent et les pères se font rares
Les enfants ne rient plus, se bâtissent des remparts
Les mères prennent sur elles, un jeune sur 3 en taule
Toute cette merde est réelle, donc on se battra encore
C'est la vie illusoire qui nous bouffe les tripes
Une bouteille de vodka, quelques grammes de ''weed''
le combat est si long pour un peu de lumière
Les familles se déchirent et les pères se font rares
Les enfants ne rient plus, se bâtissent des remparts
Les mères prennent sur elles, un jeune sur 3 en taule
Toute cette merde est réelle, donc on se battra encore
C'est la vie illusoire qui nous bouffe les tripes
Une bouteille de vodka, quelques grammes de ''weed''
Certains ne reviennent pas de ces raids violents
Du Subutex injecté dans une flaque de sang
Des enfants qui se battent, un coup de couteau en trop
Ce n'est plus à la baraque que les mômes rentrent tôt
Ils t'apprennent la vie dans un verre de colère
Formatage de la rue, formatage scolaire
C'est chacun sa disquette, quand les mondes se rencontrent
C'est le choc des cultures, voire la haine de la honte !
Du Subutex injecté dans une flaque de sang
Des enfants qui se battent, un coup de couteau en trop
Ce n'est plus à la baraque que les mômes rentrent tôt
Ils t'apprennent la vie dans un verre de colère
Formatage de la rue, formatage scolaire
C'est chacun sa disquette, quand les mondes se rencontrent
C'est le choc des cultures, voire la haine de la honte !
Les barrières sont là, dans nos têtes, bien au chaud
Les plus durs craquent vite, c'est la loi du roseau
Non, rien n'est rose ici, la grisaille demeure
Dans les cœurs meurtris, qui à petit feu meurent
Ne pleure pas ma soeur car tu portes le monde
Noble est ton cœur, crois en toi et remonte
N'écoute pas les bâtards qui voudraient te voir triste
Même Terre-mère est malade, mais Terre-mère résiste !
Les plus durs craquent vite, c'est la loi du roseau
Non, rien n'est rose ici, la grisaille demeure
Dans les cœurs meurtris, qui à petit feu meurent
Ne pleure pas ma soeur car tu portes le monde
Noble est ton cœur, crois en toi et remonte
N'écoute pas les bâtards qui voudraient te voir triste
Même Terre-mère est malade, mais Terre-mère résiste !
Donc ces cons qui s'en vont, apprentis créateurs
Qui ont tout déréglé, sanguinaires prédateurs
Babylone est bien grande mais n'est rien dans le fond
Une vulgaire mascarade au parfum d'illusions
Maîtresse de nos esprits crédules et naïfs
Conditionnement massif là où les nerfs sont à vif
Dans la marge et la rage, parce qu'on est galériens
Ensemble, nous sommes le Monde et le système n'est rien !
Qui ont tout déréglé, sanguinaires prédateurs
Babylone est bien grande mais n'est rien dans le fond
Une vulgaire mascarade au parfum d'illusions
Maîtresse de nos esprits crédules et naïfs
Conditionnement massif là où les nerfs sont à vif
Dans la marge et la rage, parce qu'on est galériens
Ensemble, nous sommes le Monde et le système n'est rien !
Prend conscience de ton frère, reste près de ton coeur
N'écoute pas le système, assassin et menteur
Eloignes-toi de la haine qui nous saute tous aux bras
humanité humaine, seul l'Amour nous sauvera
Écoute le silence quand ton âme est en paix
La lumière s'y trouve, la lumière est entrée
Vérité en nous-même, lieu de la création
N'oublie pas ton histoire, n'oublie pas ta mission
N'écoute pas le système, assassin et menteur
Eloignes-toi de la haine qui nous saute tous aux bras
humanité humaine, seul l'Amour nous sauvera
Écoute le silence quand ton âme est en paix
La lumière s'y trouve, la lumière est entrée
Vérité en nous-même, lieu de la création
N'oublie pas ton histoire, n'oublie pas ta mission
Dernière génération à pouvoir tout changer
La vie est avec nous, n'aies pas peur du danger
Alors levons nos voix pour ne plus oublier
Tas de poussière d'étoiles, qu'attends-tu pour briller ?
Tous frères et sœurs Reformons la chaine
Car nous ne sommes qu'un, divisés dans la chair
Retrouvons la joie, l'entraide, qu'on s'élève
Une lueur suffit à faire fondre les ténèbres
La vie est avec nous, n'aies pas peur du danger
Alors levons nos voix pour ne plus oublier
Tas de poussière d'étoiles, qu'attends-tu pour briller ?
Tous frères et sœurs Reformons la chaine
Car nous ne sommes qu'un, divisés dans la chair
Retrouvons la joie, l'entraide, qu'on s'élève
Une lueur suffit à faire fondre les ténèbres
S'essouffle ce temps, une odeur de souffre
La fin se ressent, la bête envoute la foule
Les symboles s'inversent, se confondent et s' obsèques
L'étoile qui fait tourner la roue se rapproche de notre ciel
Terre à l'agonie, mal-être à l'honneur
Folie, calomnie, ton coeur à la bonne heure
Ignorance du bonheur, de la magie de la vie
Choqués par l'horreur et formés à la survie
La fin se ressent, la bête envoute la foule
Les symboles s'inversent, se confondent et s' obsèques
L'étoile qui fait tourner la roue se rapproche de notre ciel
Terre à l'agonie, mal-être à l'honneur
Folie, calomnie, ton coeur à la bonne heure
Ignorance du bonheur, de la magie de la vie
Choqués par l'horreur et formés à la survie
L'époque, le pire, une part des conséquences
Le bien ou le mal, aujourd'hui choisis ton camp !
L'être humain s'est perdu, trop centré sur l'Avoir
Les étoiles se concertent pour nous ramener sur la voie
Cadrillage ciseler dépasse la lumière
Aies confiance en la vie, en la force de tes rêves
Tous un ange à l'épaule, présent si tu le cherches
Dans nos cœurs, on n'est qu'un avec l'Esprit et le Geste !
Le bien ou le mal, aujourd'hui choisis ton camp !
L'être humain s'est perdu, trop centré sur l'Avoir
Les étoiles se concertent pour nous ramener sur la voie
Cadrillage ciseler dépasse la lumière
Aies confiance en la vie, en la force de tes rêves
Tous un ange à l'épaule, présent si tu le cherches
Dans nos cœurs, on n'est qu'un avec l'Esprit et le Geste !
Le Grand Jour se prépare, ne vois-tu pas les signes ?
La mort n'existe pas, c'est juste la fin d'un cycle
Cette fin se dessine, l'être humain se décime
L'espoir indigo ,les pléiades nous désignent
Lève la tête et comprend, ressens la force en ton être
Dépasse Babylone, élucide le mystère
Rien n'est plus tiré au sort, que le Ciel nous bénisse
Enfant du quinto sol , comprend entre les lignes.
La mort n'existe pas, c'est juste la fin d'un cycle
Cette fin se dessine, l'être humain se décime
L'espoir indigo ,les pléiades nous désignent
Lève la tête et comprend, ressens la force en ton être
Dépasse Babylone, élucide le mystère
Rien n'est plus tiré au sort, que le Ciel nous bénisse
Enfant du quinto sol , comprend entre les lignes.
Keny Arkana
Source : paroles2chansons.com
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